Vertu et Rosalinde

Anne Serre est l'invitée du "Book Club".

"L'univers d'Anne Serre est entièrement là : forêts, conte, liens, disparition, liberté. [...] Anne Serre est l'écrivaine des éclats de vie. il y a des routes parmi les hêtres et des chemins dans les têtes. [...] Un autoportrait romanesque, drôle et profond, à travers trente petites histoires."

"Ce livre aux allures de conte, construit comme un kaléidoscope mélancolique et joyeux, emporte tant par sa maîtrise que sa poésie."

Vertu et Rosalinde est au programme des "Midis de Culture" :

"Vertu et Rosalinde est à la fois fantaisiste et facétieux, et c'est merveilleux. Anne Serre observe la vie avec intelligence et ingéniosité, transformant les faits du quotidien en une source de jubilation, souvent liée à l’inattendu de ses récits. [...] Son écriture est profondément maîtrisée et ses effets de chutes surprenantes donnent énormément de sens à l’ensemble." (Pierre Benetti)

"C’est l’un des livres les plus marquants de la rentrée : Anne Serre est une grande écrivaine !" (Virginie Bloch-Lainé)

Coup de cœur d'Élisabeth Philippe à retrouver ici.

Anne Serre est invitée de l'émission "Répliques".

"Ce livre-là ressemble à un castel enchanté. [...] Envoutant. [...] Évoquant son art d'écrire, Jane Austen disait travailler de petits morceaux d'ivoire avec un pinceau d'une extrême finesse. Anne Serre a dû retrouver le pinceau magique dans une brocante."

"Un bijou."

"Un voyage secret vers une vie imaginaire et joyeuse."

"Son univers et son écriture sont espiègles, proches du conte. Elle est une grande écrivaine contemporaine, et une grande écrivaine de la subtilité. On a l'impression, en la lisant, de discuter avec une personne très intelligemment amusée par ce qu'elle observe." (le site d'Anne Serre)

"Avec Vertu et Rosalinde, Anne Serre signe un roman exquis à entrées multiples et sous le signe d'une subtile fantaisie."

"Chez elle, ni autofiction, ni autobiographie, ni confession, ni roman historique : que de la fiction, de la pure, et de la fantaisie, à la façon de Kafka ou de Robert Walser, qui comptent parmi ses maîtres."

"Anne Serre se met en « je » en toute liberté contrôlée."

"On se perd avec plaisir dans ce dédale de miroirs où se mêlent songes, rêveries et pulsions. Comme si cet autoportrait légèrement dadaïste prenait moins pour modèle l'autrice elle-même que son inconscient."

"En pleine possession de son art, Anne Serre livre avec Vertu et Rosalinde une œuvre dérangeante, piquante, qui se situe en marge de la création romanesque contemporaine et prouve son éclatante originalité. Elle invite à décrypter, d’épigramme en moralité, sa conviction de ce qui fait de la littérature – et de l’art en général – un instrument de vérité sans concession. D’où ce résultat inattendu : un art poétique qui est aussi un roman allégorique, aussi actuel qu’intemporel." (l'intégralité de la critique)

"Il est très rare que la légèreté soit une valeur littéraire, qu'elle ne rime pas avec superficialité ; mais si l'on donne à ce dernier terme le sens que lui attribue Walter Benjamin lorsqu'il parle de la « superficialité aussi déchirante, inébranlable, inhumaine » des personnages de Robert Walser revenus de la folie, on rejoint peut-être un secret de l'écriture d'Anne Serre. Sa pratique joueuse de la littérature est un art du détachement."

"Celle qui nous parle ici se rit des identités et des genres, littéraires ou non. La tonalité essentielle de son écriture, à travers toutes les variations subtiles de registre, est une sorte de joie fondamentale." (lire l'intégralité)

"Quoi ? Vous ne connaissez pas Anne Serre, lauréate du Goncourt de la nouvelle, autrice du cultissime Petite table, sois mise ! − enfant légitime du coït quit réunit un soir Buzzati, Kafka, Agota Kristof et Beckett ? Il n'est jamais trop tard pour rectifier une faute de goût. Ruez-vous sur Vertu et Rosalinde, son nouveau texte, qui condense toute la palette de son drôle d'univers génial."

"D'une inquiétante et envoûtante étrangeté."