"Vingt ans après La Reine du silence, la romancière et dramaturge poursuit l'enquête familiale et signe l'un de ses plus beaux livres en dialoguant avec des images."
L'Humanité, 16 janvier 2025
- Sophie Joubert
"Il était une fois une mère et sa fille. Marie Nimier signe un double portrait désarmant."
La Tribune dimanche, 12 janvier 2025
- Arnaud Cathrine
"Le côté obscur de la Reine éclaire d'une sensibilité confondante un amour manqué."
Le Point, 9 janvier 2025
- Valérie Marin la Meslée
"Marie Nimier raconte ses ascendances lourdes, voire encombrantes, avec une distance remarquable."
Le Figaro littéraire, 9 janvier 2025
- Etienne de Montety
"Une sorte d'enquête profondément intime et d'une totale subtilité et sincérité."
Sud-Ouest Dimanche, 5 janvier 2025
- Olivier Mony
"Le côté obscur de la Reine parvient à faire entendre ce vrai silence, pas celui qui enjoint de parler, ce qu'il a été pour la fille, mais celui dont on ne se départit jamais, pas même dans le flux ininterrompu de la plainte [...]. Le livre de Marie Nimier est magnifique de ses ambivalences et de ses ellipses. L'abandon de la fiction rend le récit heurté. rien n'y est magnifié ni adouci, on est avec elle sur une crête, ce qui rend la lecture à la fois touchante et haletante. L'autrice en a marre de sa mère et elle le dit."
Le Monde des livres, 3 janvier 2025
- Tiphaine Samoyault
"La romancière se penche ici sur sa mère, décortique les nœuds de cette relation si complexe, ose les révélations. C'est l'histoire d'un « amour barbelé »."
Madame Figaro, 3 janvier 2025
- Minh Tran Huy
"Portrait de la Reine mère. Vingt ans après La Reine du silence, Marie Nimier raconte ses relations avec sa mère, la vie familiale mouvementée, les ultimes confidences. un inventaire intime et désenchanté."
La Croix, 2 janvier 2025
- Christophe Henning
"On est confondus et éblouis par sa quête d'une sincérité absolue."
L'Express, 2 janvier 2025
- Marianne Payot
Le Nouvel Obs, 2 janvier 2025
- Jérôme Garcin
"Marie Nimier, éternellement fille."
ELLE, 2 janvier 2025
- Dorothée Werner
"Un livre aussi fort et poignant que La Reine du silence, évocation sensible des souvenirs légués par son père pour laquelle [Marie Nimier] avait reçu, en 2004, le prix Médicis."
Livres Hebdo, décembre 2024
- Marie Nimier